Elles nous servent tous les midis le sourire aux lèvres, mais que savons nous vraiment d’Agnès et Florence ? Après nous avoir proposé un café, Agnès, notre serveuse à l’humeur pétillante, a accepté de nous faire découvrir les coulisses de notre restaurant d’entreprise et de nous en dire un peu plus sure elle et sa collègue Florence, absente ce jour.
« Loin des fourneaux. »
Agnès n’a pas toujours travaillé dans une cuisine. Pendant 17 ans, elle a géré un bar passant son hiver à la montagne et son été au Cap d’Agde. En 2001, elle est retournée dans la région pour se rapprocher de ses frères où elle investit dans un bar tabac épicerie à Villers-Bocage qu’elle vendra 12 ans plus tard.
« Aujourd’hui dans la cantine de MIS »
Cela va bientôt faire 4 ans que Agnès travaille chez MIS. Elle fait équipe avec Florence, cuisinière, qui travaille sur site depuis l’époque de Philips. Leurs journées sont très rythmées : tous les matins à 9h30, Agnès vérifie la température des frigos et des plats. Les aliments sont ramenés par Florence et sont préparés à L’institut Lemonnier dès 7 heures. Avec deux autres cuisinières, Florence prépare les entrées et les desserts pour le groupe API Restauration (API ne travaille pas que pour MIS, mais également pour L’Institut Lemonnier et Les Laboratoires Gilbert). Les plats qui nous sont servis sont préparés par le cuisinier Steeve, accompagné de sa seconde Eudoxie. Au total, Florence et ses collègues préparent presque 1000 entrées – plats – desserts tous les matins.
Ensuite, elles s’occupent de la mise en place, exercice difficile suite au COVID-19 puisque tout est servi de manière individuelle et en assiette suite à la levée des différents buffets.
Agnès et Florence mangent à 11 heures puisque le service s’effectue entre 11h30 et 12h45. En moyenne, elles accueillent entre 75 et 90 personnes le midi. Pendant le service, Agnès sert les assiettes et Florence est à la caisse. Après le repas, Agnès passe à la plonge et Florence nettoie les vitrines et la cuisine, la température des frigos est également contrôlée.
« Après Eurest, place à API Restauration »
Depuis API (successeur de Eurest en 2018), Agnès vante l’évolution de la qualité des produits et trouve avoir davantage d’échanges avec les salariés depuis ce remplacement. Elle connaît nos habitudes : plats non-appréciés, cuisson de la viande, choix dans les légumes… Nos goûts alimentaires n’ont plus de secret pour elle ! Très appréciées par l’ensemble des salariés (Murata avait d’ailleurs insisté pour que cette équipe reste inchangée avec l’arrivée de API), Agnès et Florence mettent tout en œuvre pour que le repas soit un moment de plaisir. Toutes deux très dynamiques, elles n’hésitent pas à participer aux différentes animations proposées par API et MIS : « C’était très sympa de voir les salariés déguisés pour Noël ».
Le saviez-vous ?
Les desserts et les entrées froides ne doivent pas être conservées plus de 48 h, les plats chauds doivent rester entre 66 et 80 °C.
Un témoin de chaque plat servi est conservé une semaine pour pouvoir être analysé en cas de problème sanitaire.

